Portrait 3 minutes avec

Gérard Besson, ancien chef étoilé

21.06.14

L’homme est avenant, un pied dans le 11e arrondissement, l’autre dans ces terroirs de France qu’il aime toujours autant. Gérard Besson est un retraité heureux qui sillonne le monde et trouve même le moyen, lorsqu’il est invité par des amis, de cuisiner pour toute la tablée.

« Pour moi, cela n’a jamais été un métier mais une passion. » Une passion qui l’a amené à croiser les soirées du Goût de l’autre et à collaborer à l’élaboration de « Plats d’existences », un livre portraits-recettes dont la sortie aux éditions de l’Atelier est prévue en octobre prochain. « Dans la préface, j’ai mis en avant la disponibilité, l’engagement et l’intelligence des organisateurs, indique l’ancien chef double étoilé. J’ai surtout écrit que ce livre n’a rien à voir avec les autres livres de cuisine qu’on trouve sur le marché, qu’à travers ces recettes que j’ai un peu aidé à retravailler, on y découvre des plats mais surtout la sensibilité et la générosité de chacun des migrants qui les ont préparé et partagé. » 

Partagez moi !

Vous pourriez aussi être intéressé par

Portrait Artisan

Charcutière jusqu’aux tripes 

21.10.24
Marie Caffarel, fraîchement quarantenaire, est à la tête de la Maison Payany. Artisane charcutière à l’énergie communicative, elle a repris en 2019 cette institution marseillaise à la devanture rose fluo, un espace de 16 m2 implanté rue Breteuil depuis...

Portrait Le vigneron / la vigneronne du mois

Le b. a. Bia ou pourquoi partir à la recherche du Mècle, Chatus ou Bia, ces cépages oubliés ?

15.03.24
Faut-il être passionné par la viticulture, l’environnement, le patrimoine et l’histoire pour se lancer à la recherche des cépages oubliés. Ecouter les vignerons Nicolas Gonin et Pascal Jamet raconter leur travail de prospection à la recherche du Bia, Mècle,...

Portrait Initiatives +

La biscuiterie Handi-gaspi, une entreprise innovante entre responsabilité sociale et environnementale

04.07.24
L'entreprise Handi-gaspi valorise des matières qui partiraient à la poubelle, tout en permettant à des personnes en situation de handicap de se former aux métiers de la biscuiterie.