Ville campagne Agriculture urbaine

BD : Sur le toit, des légumes et de la science

15.12.18

Lancé en 2012, le projet de recherche T4P (pour « Toit parisien productif projet pilote ») vise à tester la faisabilité de culture maraîchère citadine en toiture, en respectant trois contraintes : utiliser en tant que sol uniquement des résidus issus du milieu urbain ; ne pas utiliser de fertilisant organique ou minéral ; répondre au cahier des charges d’une agriculture biologique. De premiers résultats, publiés en décembre 2017 dans la revue Agronomy for Sustainable Development, tirent un bilan positif pour ce dispositif de toit potager en ville.

Ce projet se déroule sur la toiture de l’école d’ingénieur AgroParisTech, dans le Ve arrondissement de Paris. Il a été mené par une équipe de recherche AgroParisTech-INRA et a notamment donné lieu à la thèse de Baptiste Grard présentée au travers de cette bande dessinée. Bonne visite !

 


Dessin et couleurs : Mathieu UghettiThe Conversation

Mathieu Ughetti, Illustrateur, vulgarisateur scientifique, Inra et Baptiste Grard, Chercheur postdoctoral, Agro ParisTech – Université Paris-Saclay

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

 

Partagez moi !

Vous pourriez aussi être intéressé par

Ville campagne Épisode 1/6

Paysan(ne), un métier d'avenir ? Pas vraiment ...

11.12.23
Qui vont donc être nos futurs paysans et à quoi ressemble ce chemin semé d'embuches pour remplacer les anciens ?

Ville campagne

La table 42, l’infini commence ici

17.12.24
En cette période de fêtes, on vous emmène en Aveyron, plus précisément Place de l'église, à Bezonne, à 14 km de Rodez. C'est ici, en plein cœur d'une terre de contrastes et de contemplation, que Alix et Antonin Pons-Bellegarde...

Ville campagne Épisode 4/6

Paysan(ne), un métier d’avenir ? Jean-Martin Fortier répond résolument oui, si on applique ses méthodes largement éprouvées !

16.04.24
Bien souvent quand on avance le nom du québécois Jean-Martin Fortier en France, on obtient au mieux une moue désabusée, au pire un crie d'orfraie assorti d'un "oui, mais c'est un businessman...".